Body manifesto
Depuis les années 80, le body est une base de dressing.
En tout cas dans celui des businesswomen et socialite new-yorkaises. Et dans nos fantasmes d’être cette femme puissante qui marche vite parce qu’elle doit prendre de décisions urgentes avant d’aller diner au Cirque puis de sauter dans un taxi pour faire une apparition à une soirée de charity au Met.
Mon souvenir de body à moi, il date de mes 5 ans. J’habite à Toronto, je fais de la gymnastique rythmique, et j’ai un justaucorps bleu ciel avec des petites manches à volants. Mes parents savent déjà qu’en sport je ne suis pas très dégourdie... Mais je me souviens de mon sentiment de puissance dans ce justaucorps. Je suis une super-héroine !
Années 90. Spectacle de fin d’année de CM2. Je suis hyper hypermétrope, déjà pas mal complexée. Le thème du spectacle c’est le fitness. Ma mère me bricole un justaucorps avec son maillot de bain noir, en raccourcissant les bretelles. Queue de cheval, collants blancs, baskets, grand soleil. J’ai encore mes lunettes et ma timidité mais 2 copains me voient arriver : “waouh t’as l’air trop cool dans ton justaucorps”. Je suis galvanisée. Je ressens encore aujourd’hui la joie qui m’avait inondée. Une petite bascule avait opéré, ce jour là j’ai pris un tout petit peu de confiance en moi.
Alors le body Patine ?
On y a mis quelques gouttes de cette confiance en soi de ce jour-là. De la puissance, celle des héroïnes en justaucorps. Du confort, un maximum. Un peu de Cameron Diaz en 1992, de l’arrondi comme une danseuse de ballet. La crème des matières, notre merveilleux Power stretch thermorégulant et liftant.
Merci pour votre confiance, ce dressing se crée avec vous.