Vous l’avez vu dans la partie précédente, il n’y a pas que les émissions carbone qui pèsent dans le bilan environnemental de la mode, il y aussi la pollution des sols, de l’eau, de l’air par exemple. Cependant, on a décidé de faire un focus sur le bilan carbone car 1. on a des chiffres à partager avec vous et 2. il y a beaucoup d’idées reçues sur le sujet et c’est donc l’occasion de les challenger.
Par exemple, idée reçue #1 : c’est le transport qui impacte le plus le bilan carbone de l’industrie de la mode. Spoiler, ce n’est pas le cas, chez Patine non plus. Le site youmatter.world cite une étude Qantis de 2018 et rapporte que la majorité des émissions du secteur de la mode sont liées “à deux étapes du cycle de vie d’un vêtement : la fabrication du tissu à partir de la matière première (le filage du coton et le tissage par exemple) et le traitement du textile (teintures et finition). Le transport, lui, représente environ 1% de l’impact environnemental d’un vêtement. (..) L’essentiel de ces impacts est lié à l’énergie utilisée pour ces procédés industriels, qui provient essentiellement de la combustion d’énergies fossiles. La production des produits chimiques (teintures par exemple) contribue aussi nettement aux émissions de CO2 du secteur.” (source)
Dans cette partie, vous saurez tout sur le bilan carbone et on compte sur vous pour partager l’info dans vos dîners #cultureconfiture !